Avoir bonne presse

C’est un paradoxe classique, dans la lignée de « l’œuf et la poule », de la « bulle cognitive » et du « on ne prête qu’aux riches » : le mieux, pour que l’on parle de vous, c’est que vous soyez connu … mais pour être connu, il faut que l’on parle de vous.

Que l’on s’entende : c’est de mon premier roman, Été 99, que je souhaite que l’on parle. Pas du gars ordinaire qui l’a écrit. Car, en littérature plus qu’ailleurs, le bouche-à-oreille est le moyen le plus sûr de toucher de nouveaux lecteurs. Or la vocation d’un livre publié, c’est d’être lu.

C’est dire, donc, si j’ai reçu avec bonheur les premiers retours presse au sujet d’Été 99. Mon roman étant entré dans la sphère médiatique, tous peuvent désormais légitimement en parler. Top! C’est le premier pas qui compte, n’est-ce pas? 🙂

Jugez plutôt :

« Bertrand Misonne signe aux éditions Académia un roman dépaysant et subtil. C’est non seulement bien écrit, c’est aussi frais et léger, comme la jeunesse. »

« Entre les glaciers du mont Blanc et les dunes du Sahara marocain, en passant par la Riviera dei Fiori, l’auteur fait la démonstration que ce qui importe dans les voyages, ce n’est pas la destination, mais la route elle-même ».

« Si vous n’avez pas terminé votre sélection de bouquins pour les vacances, glissez-y Été 99! »

Didier Albin, L’Avenir.

« Le style est fluide. Les dialogues, très modernes, alternent avec le narratif teinté de rigueur classique. Les descriptions sont saisissantes, les portraits aussi. »

« La Route – car ils ne prennent pas la route, c’est la Route qui les prend – les conduira en Italie, en Espagne, puis au Maroc. Telle est la trame de ce roman qu’on lit de bout en bout. »

« Tout ce roman est parcouru par un vent d’optimisme, de foi en l’avenir. L’auteur a réussi à créer un vivifiant mélange de gravité et de légèreté ! De surcroît, très bien écrit. »

Jacques Goyens, Reflets (revue de l’Association Royale des Écrivains de Wallonie/Bruxelles).

« Durant quelques heures j’ai pu m’évader dans des paysages si bien décrits. »

« Les personnages sont touchants, et les différentes rencontres qu’ils feront au cours de l’histoire donnent du rythme, on ne voit pas les pages passer. »

« J’ai bien aimé également l’intrigue autour de la lettre laissée par le père de Bernard à sa mort. »

« C’est un beau roman ou le thème du deuil et du voyage sont abordés avec cette touche d’humour qui nous donne envie de faire ce bout de chemin avec eux. »

@mel_libooks via Instagram

Merci à ces premiers découvreurs d’Été 99. La spirale positive qu’ils ont enclenchée n’est pas près de s’arrêter!