C’est un peu comme la dernière échographie pour un enfant attendu avec beaucoup d’amour et une pointe d’anxiété par ses parents. Les contours sont un peu flous, mais en s’employant, on se convainc d’y reconnaître la future « bouille » du bébé qui ne tardera plus à pointer son nez…

Oui, je la perçois de la même manière, la maquette de la couverture de mon roman. On ne peut pas encore vraiment voir celui-ci, encore moins le toucher, pourtant on ne peut plus douter de sa matérialité. On peut même lui trouver – déjà! – une belle allure.

Alors, n’est ce pas qu’il a de la gueule, Le Nouveau Michel H., mon roman à paraître début Septembre?

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