S’il y a bien un fait anthropologique majeur de notre époque qui nous échappe à force d’être là, partout, tout le temps, c’est bien celui-là.
Que l’on le veuille ou non, il s’impose à nos yeux, à nos oreilles où que nous nous trouvions: à l’arrêt de bus en ville, au supermarché, en bagnole sur l’autoroute, sur notre téléphone portable aux toilettes, … vous voyez de quoi je parle?
Du MARKETING bien sûr!
J’ai toujours trouvé incongru qu’une foule de comédiens vous sautent dessus à tout moment pour vous balancer des injonctions du style : « Goûtez ceci! Profitez de cela! Devenez comme-ci! Vivez comme-ça! » Non, mais ho! Fichez-moi la paix, vous!
Mais voilà qu’avec la sortie de mon premier roman je me retrouve avec un truc à vendre. Pas pour faire de l’argent ou en tirer de la gloriole, mais parce que la vocation d’un livre publié, c’est d’être lu. Un peu comme quand vous montez sur scène avec votre éternel petit groupe, vous espérez que le public sera là…
Dès lors, comment m’y prendre pour vous convaincre d’acheter Été 99, de le lire, d’en parler autour de vous? Comment obtenir cinq secondes de votre temps de cerveau disponible? Vous inciter à l’action sans vous balancer des phrases clinquantes à l’impératif? Mon éditrice, pleine de sagesse, m’a dit « il n’y a pas de formule magique » …
… c’est là que j’ai eu cette idée toute bête, un truc de pirate, un peu second degré : l’opération #lisezbordel ! Peut-être avez-vous vu cet autocollant délicieusement vintage colorer un mur gris, agrémenter un pare-chocs, un banc public, un frigo (si oui, je suis preneur de vos photos!).
C’est cool, pas vrai?
Alors, qu’attendez-vous? Rejoignez le mouvement! Lisez, bordel! Et followez-moi sur les Insta! Likez! Taguez! Partagez! Puis achetez mon livre, aussi surtout!!!!
2 Comments
Vous en valez deux · 26 mai 2023 at 11 h 57 min
[…] Comme dit le poète : « on compte sur vous! » #lisezbordel […]
Avoir bonne presse · 8 juin 2023 at 11 h 53 min
[…] Que l’on s’entende : c’est de mon premier roman, Été 99, que je souhaite que l’on parle. Pas du gars ordinaire qui l’a écrit. Car, en littérature plus qu’ailleurs, le bouche-à-oreille est le moyen le plus sûr de toucher de nouveaux lecteurs. Or la vocation d’un livre publié, c’est d’être lu. […]
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